La "taxe à l'échec" est-elle juste? (Problématisation)

par

Thérèse-Isabelle Saulnier et ses groupes de philosophie



Remarque préalable

Ce sujet, la dite "taxe à l'échec", s'est présenté comme très important, particulièrement au mois de janvier 1998, moment de son application. Les associations étudiantes de la majorité des cégeps québécois ont demandé l'abolition de cette taxe, mais elle est toujours là et ça a bien l'air que c'est pour y rester. J'en ai profité, en tant que professeure de philosophie, pour faire réfléchir mes étudiants et étudiantes là-dessus, puisque c'était une question qui les concerne directement et qui était d'une très grande actualité. Comme les arguments principalement invoqués pour la faire abolir étaient qu'elle s'avérait inique, inéquitable et injuste, la question de sa justice ou de son injustice s'imposait de soi.

Vous trouverez, dans cette section, le résultat de la problématisation faite collectivement sur ce sujet. Rappelons que la problématisation, telle que je la fais faire, consiste à établir une quadruple liste:


N.B.: Il est logique de commencer par la liste de questions!


Aussi, comme il faut exercer son esprit critique face à l'énoncé de certains arguments et ne pas tout prendre pour argent comptant, vous trouverez une page spéciale dans laquelle sont repris certains arguments pour le moins douteux ou contestables. Pour y accéder, cliquez sur


Pour avoir accès à un texte argumentatif sur la "taxe à l'échec", cliquez sur


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