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Toutes les recherches concordent : les besoins en protéines de l'humain varient de 2 1/2% à 8%. " ... les gens qui vendent de la viande, du poisson, du fromage, des oeufs, du poulet et toutes les autres sources de protéines ne sont pas d'accord. Si vous en consommez 30% de plus, leurs revenus sont de 30% plus élevés. Cela augmente aussi de 30% la quantité de protéines dans nos égouts, car nous devrions éliminer l'excèdent que nous ne pouvons utiliser le jour même. De plus, vous dépensez 30% de plus pour votre budget alimentaire en protéines que vous n'utilisez jamais. " Si on ne mangeait que du blé (17% de protéines), de l'avoine (15%) ou de la citrouille (15%) on obtiendrait plus qu'assez de protéines. Le chou à lui seul (22%) fournit plus que le double de ce dont on a besoin. On nous apprend à l'école que les protéines animales (classe A) sont supérieures aux protéines végétales (classe B). Ce sont les seules protéines dites complètes. Cette brillante affirmation émanaient en fait de résultats obtenus sur des expériences menées sur les rats. (dès 1940). Jusque maintenant, on n'a jamais pu faire le même genre de recherches sur des humains.
Pas n'importe quel régime végétarien
Les régimes végétariens qui comprennent trop de calories vides (sans valeur nutritives) peuvent être insuffisants. Les produits à base de farine blanche, le sucre, les aliments raffinés et transformés, les aliments riches en gras remplissent l'estomac et donnent des calories à brûler mais procurent peu d'éléments nutritifs. Les Fruit Loops, les Twinkies et le CocaCola sont tous des aliments végétariens, mais ils ne fournissent pas les éléments nutritifs dont on a besoin, peu importent leurs caractéristiques biochimiques. Une trop grande consommation de produits laitiers est peu recommandée. Idem pour les oeufs dont la réputation a été surfaite.
"Les végétariens se demandent toujours s'ils consomment assez de protéines, mais je ne connais pas de nutritionniste capable de composer un régime d'aliments naturels qui entraîne une carence en protéines tout en fournissant un nombre suffisant de calories. Il suffit de tirer 6 % de ses calories de protéines..... et dans un régime ordinaire, il est presque impossible de descendre en-dessous de 9%. "
L'idée que l'activité physique entraîne des besoins accrus en protéines fait partie de la mythologie des protéines. Certains culturistes adoptent des régimes contenant entre 50 et 70% ce qui est inutile et aberrant... Arnold Schwarzenegger recommande un gramme de protéines par kilo de poids corporel. Selon lui, on n'a pas besoin de manger de viande, d'oeufs ou de produits laitiers. " En ne mangeant que du brocoli, on passe peut-être pour un fou, mais on obtient quatre fois l'apport recommandé. "
Surconsommation de protéines
- l'ostéoporose : dans notre culture, à 65 ans, une femme sur quatre a perdu plus de la moitié de sa densité osseuse. La cause en est la surconsommation de protéines qui réduit le taux de calcium et autres minéraux. Résultats des recherches de l'université de Michigan : - à 65 ans, la femme végétarienne a subi, en moyenne, une perte de densité de 18% alors que la femme consommant de la viande affiche une perte osseuse de 35%. - Les crises cardiaques : Aux États-Unis, elles frappent une personne toutes les 25 secondes et en tuent une autre toutes les 45 secondes. Aucune substance végétale ne présente de cholestérol alors que (en mg par portion de 100g) 1 oeuf entier en contient 550, un rognon 375, du foie de boeuf 300. "Un régime végétarien peut prévenir 97% des occlusions coronariennes. " (Journal of the American medical Association).
Le cancer : La consommation de viande est liée à l'apparition d'un tueur qui frappe plus de 20% des familles aux USA." Taux de mortalité par cancer du sein (par ordre décroissant) 1. Femmes qui consomment de la viande 2. Femmes lacto-ovo végétariennes 3. Femmes végétariennes pures
La salmonellose : C'est l'une des maladies infectieuses les plus courantes aujourd'hui aux USA.: chaque année, on dénombre 4 millions d'empoisonnements à la salmonelle, soit beaucoup plus que le nombre des plus terribles grippes. "La viande que nous mangeons est autant contaminée par les bacilles coliformes que par la salmonelle." Un poulet acheté dans un supermarché a 1 chance sur 3 d'être contaminé. Il devient de plus en plus difficile de soigner cette maladie. Le gavage des animaux de boucherie aux antibiotiques favorise au maximum la propagation de bactéries réfractaires aux médicaments. Il y a quelques années 10% des staphylocoques résistaient à la pénicilline. Ce nombre est passé à 90%. La cuisson ne suffit plus à détruire la salmonelle. Les scientifiques parlent de plus en plus d'une épidémie de salmonelle incurable. (New England Journal of Medicine).
L'Amérique empoisonnée
Le cauchemar sexuel : on constate une recrudescence de patients atteints de puberté précoce déclenchée par une hormone, l'oestrogène. Quelques cas cités, clichés à l'appui dans "Modern Meat" du Dr Carmen A. Saentz. - Une petite fille de 4 ans, aux seins totalement développés souffrant d'un kyste ovarien - Un adolescent de 12 ans avec des seins volumineux. - Une fillette de 1 an, avec toutes ses dents, avec des seins énormes - Une enfant de 5 ans avec une poitrine énorme, un mont de Vénus recouvert de poils et une menstruation. "Dans 97% des cas, on a pu prouver que l'apparition prématurée des seins était directement liée au lait entier que buvaient ces enfants. A un âge plus avancé, il apparaît que la consommation de lait, de volaille et de boeuf constituait l'agent pathogène. Quand nous interdisons à nos patients, toute consommation de viande et de lait, en général, les symptômes disparaissent. " Plus de 90% des animaux de boucherie ont bénéficié de l'ingestion de DES favorisant l'engraissement accéléré. Cette découverte fut considérée comme miraculeuse et pourtant : " Les fermiers qui absorbaient, respiraient ou ingéraient accidentellement même la plus infime portion de ce miracle, se plaignaient d'impuissance, d'infertilité, d'hypertrophie des glandes mammaires ou d'un changement dans le registre de la voix. " On n'en continua pas moins à administrer des tonnes de cette hormone aux animaux de boucherie. Par la suite, on découvrit que le DES était hautement cancérigène. "Les chercheurs de L'Institut National du cancer ont affirmé, lors d'une audience du Congrès, qu'une seule molécule de DES ajoutée aux 340 000 000 000 000 contenues dans 125 g de foie de boeuf peut provoquer le cancer chez l'homme..... " Malgré l'interdiction du gouvernement américain, pas moins d'un demi-million d'animaux ont été engraissés illégalement au DES. D'autres hormones, renfermant les mêmes substances que le DES sont utilisées dans presque tous les parcs d'engraissement : le Steer Oid, Ralgro, Compudose et Synovex.
Les pesticides : Ils tuent les oiseaux si rapidement qu'une espèce peut disparaître en quelques années. Notre production de pesticides est aujourd'hui 13 000 fois plus rapide qu'il y a 35 ans. Certains ont été élaborés pour tuer des êtres humains. Le phosphogène, qui entre dans la composition des herbicides et des insecticides, était à l'origine une arme de guerre chimique. La chaîne alimentaire en est littéralement inondée. Du ver de terre avalé par un oiseau qui à son tour..... etc...... la concentration de pesticides augment en manière exponentielle tout au long de cette chaîne. Il en est de même pour les animaux car : - on nourrit les animaux de poisson déjà contaminé - le reste de leur alimentation provient de terrains généreusement aspergés des pesticides les plus toxiques - on plonge les animaux dans des composés chimiques, on les en asperge et on le en gave sciemment. L'homme qui se retrouve au bout de cette chaîne absorbe cette concentration énorme de poison. Chaque année, on continue de répandre des millions de kilos de ces agents mortels qui mettent des décennies, des siècles à se dégrader. Même si le DDT a été interdit, ses ravages continuent. La Dieldrine est 5 fois plus toxique que le DDT si elle est avalée et 40 fois plus si elle est absorbée par l'épiderme. Avant qu'elle ne soit retirée du marché, l'Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire en a décelé dans 96% de la viande, du poisson et de la volaille, dans 85% des produits laitiers et chez 95% des Américains. C'est un des agents cancérigènes les plus puissants. Et pourtant, pendant longtemps, on en a aspergé presque tous les champs de maïs, d'avoine, d'orge, de soya destinés à l'alimentation du bétail. En mars 1974, le ministère de l'Agriculture a découvert que 10 millions de poulets du Mississippi avaient été contaminés à la dieldrine. 2 millions de dîners à la dinde contaminées on été retirées du marché en 1980. La Dioxine a fait des ravages au Vietnam pendant la guerre. L'armée américaine a répandu un défoliant "l'agent orange" au-dessus des jungles et des terres agricoles. On a assisté par la suite à de très nombreuses naissances d'enfants malformés. Cette arme effroyable est encore vaporisées sur des terres où croissent des céréales entrant dans l'alimentation du bétail. En comparaison, le DDT est du champagne. Le Centre de recherches de la protection de l'environnement déclare que "... la dioxine est le produit chimique le plus toxique de l'histoire de l'humanité." Mais la Dow Chemical Cie qui vend le produit rétorque.... " Le 2,45-T est aussi toxique que l'aspirine." Or, une seule goutte de Dioxine peut tuer 1 000 personnes; pour en tuer 1 000 000, il suffit de 25ml. On en trouve partout dans la viande, les produits laitiers et les oeufs vendus au supermarché.
L'heptachlore, agent cancérigène très actif a été répandu sur des milliers d'hectares de maïs destiné aux animaux.
Le porc empoisonné Plusieurs années après la prohibition de l'heptachlore, le ministère de l'Agriculture des États-Unis a découvert que, par le truchement de son programme de nutrition s'adressant aux écoliers, il avait distribué 18 000 kg de porc haché contaminé aux écoles de la Louisiane et de l'Arkansas. Avant qu'il réalise sa méprise, les enfants avaient mangé quelque 6 000 kg de porc empoisonné. En 86, les autorités de l'Arkansas ont trouvé de l'heptachlore dans le lait maternel de 70% des mères qui allaitaient leur enfant. Pas de quoi s'inquiéter même si une étude menée auprès de 120 enfants ayant bu un lait maternel contaminé a révélé que le développement de leur cerveau était retardé de façon importante. Dans le cas d'un empoisonnement de ce type, le temps d'incubation entre le moment où le composé chimique a été absorbé et l'apparition éventuelle d'un cancer, de déformations congénitales ou autres anomalies est extrêmement long. C'est un problème qu'on peut difficilement déceler avant qu'un enfant naisse handicapé, qu'on fasse une fausse couche, qu'on mette au monde un enfant mort-né ou qu'une tumeur se manifeste.
Le Michigan en déroute C'est le cas le plus dramatique d'empoisonnement aux pesticides. A partir de 1973, le PBB (biphényle polybromé) a été mélangé aux aliments des bestiaux de tout l'État. Quand on l'a décelé dans toutes les viandes et les produits laitiers, de hauts fonctionnaire ont pris toutes les mesures pour taire l'incident. Si la population avait été informée, une tragédie aurait pu être évitée. En 1976, on estima que les résidents du Michigan, avaient mangé plus de 2 millions de kilos de hamburgers contaminés au PBB. " Le PBB est tenace et peut perdurer pendant des générations. Il s'emmagasine dans les tissus adipeux et y demeure indéfiniment. Pendant la grossesse, il peut traverser le placenta et être assimilé par le foetus.... il peut provoquer des malformations congénitales dans le foetus même. "
Système immunitaire menacé La majorité des scientifiques attribuent l'épidémie de maladies nouvelles aux toxines présentes dans notre organisme. Exemple : l'hexachlorophène, l'un des bactéricides les plus efficaces, utilisé comme antiseptique dans les hôpitaux, cliniques, etc... s'est révélé contenant de la dioxine. On y plongeait les nouveau-nés, les médecins se lavaient les mains avec ce produit qui entrait dans la fabrication de diverses, crèmes, produits de beauté, produits de rasage, etc... En 1972, 35 nouveau-nés parisiens sont morts après avoir été saupoudrés de talc à base de hexachlorophène. En 78, une étude suédoise a démontré que les infirmières suédoises ayant régulièrement lavé leurs mains avec ce bactéricide ont donné naissance à un nombre très élevé d'enfants difformes.
Le sida et pire encore La présence de toxines accumulées dans notre organisme affecte notre système immunitaire. Beaucoup de chercheurs voient l'épidémie du sida comme la conséquence, du moins en partie, de la pollution chimique de notre environnement, de notre chaîne alimentaire et de notre organisme. Il y a 40 ans, le cancer était rarissime chez les enfants; aujourd'hui il tue plus d'enfants que toute autre maladie.
Les BPC Étant donné leur stabilité biologique, notre environnement est quasi saturé de BPC. Seulement aux USA, on a produit près d'un million de BPC. On en a trouvé d'énormes concentrations chez les ours polaires. Tout porte à croire que tout être humain en est porteur. Une récente étude gouvernementale a trouvé des BPC dans 100% des échantillons de sperme humain examinés. Certains tests effectués dans plusieurs universités ont démontré qu'environ 25% des étudiants sont stériles. Il y a 35 ans, leur taux de stérilité était de 0,5%. "23 des 24 travailleurs de l'usine de Monsanto qui produit des BPC ont vu leur visage et leur corps affreusement déformés. " Malgré cela, la production continue et on estime que 675 000 tonnes de ce poison mortel ont été distribuées. Tous les cours d'eau sont infestés. On en a décelé dans la neige de l'Antarctique et sans doute y en a-t-il dans les tissus de chaque poisson de la planète.
Une odeur de poisson En raison de leur chaîne alimentaire très longue, les poissons assimilent d'énormes concentration de produits chimiques. En fait, c'est comme s'ils étaient des aimants de produits toxiques. Une huître peut filtrer jusque 40 l d'eau à l'heure. En un mois, elle peut assimiler des concentrations de toxines 70 000 fois plus élevées. Plus de 50 000 tonnes de DDT ont été déversés dans les océans nord-américains. Les animaux de nos fermes industrielles sont gavés de poisson. La moitié des poissons pêchés dans le monde entier aboutissent dans leurs mangeoires. Ritewood Farms, en Idaho, un des plus gros producteurs de volaille a du avouer qu'en 1979, on a trouvé dans sa production des concentrations si élevées de BPC qu'on ne pouvait qu'avec peine les dénombrer dans un seul poulet. Et pourtant : " Il n'y a aucune raison d'alarmer la population. Nous mettons un point d'honneur à protéger la tranquillité d'esprit des gens. " Et pourtant encore : - En 1970, 146 000 poulets ont été détruits à New York à cause de très fortes concentrations de BPC dans les Soupes Cambell. - En 1971, 88 000 poulets et 55 tonnes d'oeufs provenant de Caroline du Nord ont été détruits pour les mêmes raisons. - En 1978, 1 115 tonnes de nourriture à base de poisson sont retirées du marché. "Nous pouvons supposer que ces incidents ne représentent qu'une infime portion du nombre réel des cas de ce genre et que la plupart du temps, les cas de contamination aux BPC ne sont ni dépistés ni signalés. "
Ne faites pas de bruit.... quelqu'un pourrait entendre L'indifférence des fabricants de produits chimique pour la santé des gens dépasse l'entendement. En 1974, une usine de la Virginie a entrepris la fabrication du pesticide Kepone. 3 semaines plus tard, les travailleurs souffraient de tremblements, de confusion. On leur a prescrit des tranquillisants et on a suggéré à l'un d'entre deux de consulter un psychiatre. En 1975, on a découvert que 70 travailleurs et 10 femmes et enfants avaient été intoxiqués par le Kepone. Nombre d'entre eux étaient devenus stériles. Cela n'a pas empêché l'Allied Chemical de déverser d'énormes quantités de Kepone dans le fleuve James, vivoir d'un quart des huitres mises sur le marché américain. Tout pêche commerciale a été interdite et les scientifiques affirment que le Kepone polluera les eaux pendant encore 200 ans. Une importante étude rapportée dans la revue Diet and Nutrition Letter compare les nouveau-nés de 242 femmes ayant consommé diverses quantité de poisson provenant du lac Michigan. Même les mères qui n'avaient mangé du poisson que 2 ou 3 fois par mois donnaient naissance à des bébés qui pesaient 200 à 250 g de moins que la moyenne et dont la tête était plus petite que la normale. Les réactions des bébés aux stimuli étaient anormales, faibles et lentes et montraient des signes de dépression.
Le gouvernement qui nous protège Les normes d'inspection sont si peu sévères que les inspecteurs de la viande teste une carcasse sur 250 000 pour déceler la présence de résidus toxiques et ils n'ont la possibilité d'identifier que 10% des produits chimiques. En 1976, moins de 150 bêtes ont été jugées impropres à la consommation parce qu'on y a trouvé des résidus de médicaments, 57 pour des résidus de pesticides et 29 pour résidus divers. En tout, moins de 300 bêtes sur un total de 119 millions excluant la volaille ! La corrélation entre toxines et viandes a été tragiquement mise en évidence le 5 avril 1973. Ce jour-là, l'Office de contrôle pharmaceutique et alimentaire a interdit, enfin, l'usage du colorant artificiel, utilisé jusque là pour estampiller les viandes des catégories "A", "De choix" et "N°1". Pendant 20 ans, la population s'était fiée à ce sceau dont l'encre était cancérigène.
Le lait maternel contaminé En 1981, le lait maternel de plus de 1 000 mères du Michigan a fait l'objet de tests. Dans chaque échantillon, le taux de résidus toxiques était comparable à ceux auxquels on doit des malformations congénitales et des cancers chez les animaux de laboratoire, même à des doses aussi faibles que quelques parties par milliard. Ces résultats ont tant inquiété certaines mères qu'elles ont décidé de cesser tout allaitement. Le lait maternel des végétariennes américaines contient seulement 1 à 2% des résidus toxiques accumulés par la moyenne des autres mères. Si on compare le lait maternel contaminé au poids d'une voiture compacte : 725 kg, le chiffre obtenu par les mères végétariennes serait alors l'équivalent d'une toute petite valise, soit 7 à 15 kg. Il a été établi que les nourrissons américains absorbent 100 fois plus de BPC que l'adulte moyen, proportion faite de leur poids. Cette absorption est d'autant plus importante que leur foie immature est absolument incapable de dégrader les toxines. Et pourtant : Paul Oreffice, le président de Dow Chemical Cie, dans l'émission "Today" de la NBC nous dit " Il n'a absolument jamais été prouvé hors de tout doute que les dioxines représentent quelque danger que ce soit pour l'homme" alors qu'il sait pertinemment que la quantité de dioxines suffisante pour tuer 10 millions de personnes tient largement dans la main d'un seul homme.
Extrait du livre "SE NOURRIR SANS FAIRE SOUFFRIR"
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