Refrain:
Branle Charlotte - Branle ça fait du bien - Branle ma chère - Branle husqu'à demain!
Dans son boudoir, la petite Charlotte - Chaude du con, faute d'avoir un vit
Se masturbait avec une carotte - Et jouissait étendue sur le lit.
"Ah! disait-elle, dans le siècle ou nous somes - Il faut savoir se paser des garçons
Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes - Avec ardeur je me branle le con".
Alors sa main n'étant plus paresseuse - Allait, venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite vicieuse - Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort
Mais ô malheur, ô fatale disgrâce - La jouissance lui fit faire un brusque saut
Du contrecoup la carotte se casse - Et dans le con il en reste un morceau.
Un médecin, praticien fort habile, - Fut appelé, qui lui fit bien mal.
Mais par malheur, la carotte indocile - Ne put sortir du conduit vaginal.
Mesdemoiselles, que le sort de Charlotte - Puisse longtemps vous servir de leçon!
Ah! croyez-moi, laissez-là la carotte, - Préférez-lui le vit d'un beau garçon.
Un dimanche, sous les branches - Le soleil était radieux,
Je partis pour la Bohème, - Le seul pays ou l'on aime;
Une Anglaise aux yeux de braise, - Se promenant flegmatiquement
"Veux-tu que je sois ton amant?" - Lui demandai-je en riant.
Veux-tu baiser en levrette? - Sur le plumard, la table de nuit, dans la cuvette Soit debout, soit sur une chaise, - Nous nous aimerons à notre aise. Je te ferai ma poulette - Soixante-neuf, fouille de rose ou bien de minette, Je te peloterai les seins - Pour me faire dresser l'marsoin.
La gamine, très caline, - accepta avec passion;
La même qui n'a pas la trouille - m'attrape par la peau des couilles;
Ma quéquette dresse la tête - Et nous voilà tous les deux
De plus en plus amoureux, - Sur un canapé moelleux.
Doucement elle sanglote: - "Fais-moi jouir, enfonce-moi ta pine dans la motte Va, je ne suis pas farouche, - Tu me la mettras dans la bouche; C'est aujourd'hui jour de fête: - Attends un peu, je me vais te chiper les roupettes, Avec mes nichons pointus, - Je te chatouillerai le trou du cul".
On écarte d'abord les cuisses, - Sans s'occucu, sans s'occuper du trou qui puisse;
Pour que la jouissance sois complète, - On lui met dans la trou qui pète,
Puis avec la vaseline, - Pour faire gli-gli..pour faire glisser sa pine
Si on ne sent rien en entrant, - Ca sent la merde en sortant.