
liens
vers :
Le site
anglais de la Fondation Bannister
Le site canadien de la
Coalition Canadienne Contre la Peine de Mort
Le site
allemand de Petra Richter (1)
Le site
allemand de Petra Richter (2)
Le site
très actualisé de Rick Halperin
Le site d'Amnesty
International
Le site des Familles de Victimes
pour une Réconciliation
Le site de
"Lamp of Hope"
Le site
Suisse alémanique de Walter Giger
Le site de
Nanon Williams en anglais pour l'instant
lisez la campagne que nous lançons,
avec l'aide de la mère de Nanon, pour l'aider à obtenir
un second procès
NOTE: ce
site ouvre sur le site du Révérend René Mulkey (emails
possible pour les prisonniers)
Le site
excellent et très informé (mais en anglais) de Richard
Dieter
Le site
d'ABC News sur l'actualité de la peine de mort aux USA
(en anglais)
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Stop Barbarie |
 |
...STOP DEATH PENALTY !!! |
40 minutes pour mourir ou les
exécutions-boucherie...

SOUFFRIR, MOURIR
Ceci est une liste non exhaustive
des exécutions qui ont mal tourné et viré au cauchemar
pour le condamné.

* 22 Avril 1983,
ALABAMA
Condamné: John EVANS.
Juste après la première secousse électrique, des
étincelles et des flammes surgissent des électrodes
attachées aux jambes. Les électrodes enflammées ont
atteint les courroies et le feu a démarré. De la
fumée, de nouvelles étincelles ont surgi de dessous la
cagoule enfermant le visage du condamné. Deux médecins
ont pénétré dans la salle et ont constaté que ce
dernier vivait encore. Les électrodes ont alors été
réattachées aux jambes, ce qui, après une deuxième
tentative, causa encore plus de fumée et de flammes
ainsi qu'une sensation effroyable de chair brülée. De
nouveau, les médecins constatèrent que le coeur de John
Evans battait toujours. Refusant le plainte de son
avocat, Russ Canan, une troisième secousse fut lancée.
L'exécution dura en tout 14 minutes et le corps d'Evans
n'était plus qu'une masse de chairs fumantes et
noircies. (in "Face à la peine de mort, essais sur
un châtiment cruel et dégradant", par M.L Radelet,
1989)

*2 Septembre 1983,
MISSISSIPI
Condamné: Jimmy Lee GRAY
Les autorités de la prison ont dû dissiper le gaz à
l'intérieur de la chambre huit minutes après qu'il aît
été ouvert et disséminé car les halètements
désespérés de Gray pour trouver de l'air ont horrifié
les témoins. Son avocat, Dennis Balske, a ouvertement
critiqué le fait que des "exécuteurs" aîent
eu à nettoyer la chambre de seon gaz alors que le
condamné était toujours vivant. Selon le commentaire du
journaliste David Bruck: "Jimmy Lee Gray est mort en
se fracassant la tête contre un poteau d'acier pendant
que les journalistes comptaient ses gémissements."
(Bruck, New Republic, 12 Décembre 1983)

*3 Décembre 1984,
GEORGIE
Condamné: Alpha Otis STEPHENS
Après que la première secousse électrique n'aît pu
réussir à le tuer, Stephens a dû lutter
pendant huit minutes avant de recevoir une seconde
décharge et de décéder. La première secouse avait
pris deux minutes et il y a une pause obligatoire de six
minutes avant que les médecins ne puissent toucher le
corps du condamné (et décider d'une nouvelle
décharge). Pendant cette pause de six minutes, on nota
que Stephens eut 23 palpitations respiratoires.

*13 Mars 1985, TEXAS
Condamné: Stephen Peter MORIN
Les "exécuteurs" ont dû chercher pendant 45
minutes sur les deux bras du condamné avant de trouver
une veine où planter la seringue.

*16 Octobre 1985,
INDIANA
Condamné: William E. VANDIVER
Après avoir reçu 2.300 volts, le condamné respirait
toujours et il a fallu lui administrer trois autres
décharges de courant avant qu'il ne meure. L'avocat de
William Vandiver, Herbert Shaps, témoin de la scène,
cria au scandale. Le Department of Corrections a dû
admettre que cette exécution "ne s'était pas
conclue dans les règles". Le médecin qui a
annoncé la mort a déclaré pour sa part: "Ce qui
vient de se passer est très rare."

*20 Août 1986, TEXAS
Condamné: Randy WOOLLS
Drogué notoire, Randy Woolls a dû aider les
"exécuteurs" à trouver une veine saine pour
qu'il puisse mourir.

*24 Juin 1987, TEXAS
Condamné: Elliott JOHNSON.
Il a fallu 35 minutes pour que l'on arrive à lui
implanter un cathéter dans une veine.

*13 Décembre 1988,
TEXAS
Condamné: Raymond LANDRY
Le condamné a été déclaré mort 40 minutes après
avoir été sanglé sur la table d'injection et 24
minutes après que les drogues aîent été injectées
dans ses veines. Deux minutes après le début de
l'injection, la seringue a explosé et est brusquement
sortie de la veine de Raymond Landry, répandant les
produits chimiques dans toute la pièce et sur la vitre
de la salle des témoins. L'équipe des
"exécuteurs" a dû réinsérer le cathérer
dans sa veine. Un rideau a masqué la scène pendant 14
minutes afin que les témoins ne voient rien.

*24 Mai 1989, TEXAS
Condamné: Stephen McCOY
Le condamné eût une réaction si brutale à
l'administration des drogues (soulèvements de la
poitrine, halètements, étouffements etc.) que l'un des
témoins -une femme- s'est évanouie, tombant sur les
autres témoins. L'avocate de Stephen McCoy, Karen
Zellars, qui assistait à l'exécution, a pensé que cet
évanouissement produirait une réaction de panique en
chaine. Le Procureur Général du Texas devait déclarer
que le condamné " a paru avoir une très forte
réaction", ajoutant "les drogues ont dû être
administrées à dose trop forte ou bien trop
rapidement."

*14 Juillet 1989,
ALABAMA
Condamné: Horace F. DUNKINS
Il a fallu deux décharges électriques (à neuf minutes
d'intervalle) pour tuer cet handicapé mantal. Le
"cafouillage" fut imputé à une "erreur
hmaine":câbles défaillants. Le résultat fut qu'il
n'y avait pas assez de courant pour tuer. On a pu
prononcer la mort 19 minutes après la première
décharge.

*4 Mai 1990, FLORIDE
Condamné: Jesse Joseph TAFERO
Lorsque l'Etat a remplacé l'éponge
"naturelle" par l'éponge synthétique à
l'intérieur du casque de l'appareil élactrique, des
flammes de 30 cm ont surgi et trois décharges
d'électricité ont été nécessaires pour arrêter la
respiration de Jesse Tafero. Ceux qui ont accusé l'Etat
d'utiliser "une éponge dévastatrice" ont
basé leur théorie sur l'expérience suivante: ils ont
placé un morceau de cette éponge dans un toaster et ont
noté qu'il se ramollissait considérablement puis
prenait feu. Une enquête plus poussée fut menée par le
bureau du "Capital Collateral Investigator" de
Tallahassee et l'ont repoussa la thèse car d'autres
Etats, qui employaient la même éponge synthétique,
n'avaient jamais eu de problèmes.

*17 Octobre 1990,
VIRGINIE
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Dernière mise à jour: 3 Février 2000
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