Ouro Velho

Pour aller à Ouro Velho, il m'a fallu près de 6 heure de voyage. Je suis parti de João Pessoa, en passant par Campina Grande et Congo. Le tout en prenant deux bus climatisés avec télé. Quand je suis arrivé à Ouro Velho, je n'étais plus que le seul sur dans le bus. Dona Maria Lurdes, Zé, Lucas et Gracinette, m'attendaient à l'arrêt de bus.   

Zé, le mari de Dona Maria Lurdes, et le poulet que nous avons acheté à la ferme, Dona Maria Lurdes qui m'apprend comment on déplume une poule, et oui je n'avais jamais vu...

Et puis Maria Lurdes et sa nièce, fille de sa soeur... elle fut mon guide pour ma première nuit dans cette belle petite ville, où tout le monde se connaît.  

Zé et le cousin de Ulinka, mon amie suiço-brésilienne. Puis, le garçon du mileu c'est Lucas, le fils de Dona Maria Lurdes et Zé.

Des amis de la famille, qui m'ont appris l'existence d'une radio locale. L'intérieur da Paraiba est très riche en cactus. Voici une photos prise sur le rocher qui domine la petite ville de Ouro Velho. 

Les cactus sont ensuite donné en patûre pour les bovins du coin.

Ici c'est la vielle maison des parents de Dona Maria Lurdes, avec tous ces animaux et cette immense famille de plus de 10 frères et soeurs. 

La maman, les neveux, le frère et le père de Dona Maria Lurdes

Ici un cactus qui a l'âge de la maison ci-dessus, c'est-à-dire plus de 100 ans.

Les frères de Dona Maria Lurdes

Une photo de famille pour Ulinka, en attendant le reste des photos...

Trop chou, une brebis égarée est venue se frotter à mes jambes, j'ai failli l'adopter.

Un magnifique couché de soleil sur un lac non-pollué.

   

Voici la famille d'une autre soeur de Dona Maria Lurdes. Ils sont les propriétaires d'un bar où l'on danse le Forró, voici ses fils jumeaux. 

 

Le soir de mon arrivée, j'ai été convié à visiter l'école municipale du village. Voici trois photos, ce que j'en constate c'est que cette école est de bonne qualité en comparaison à celle de Comporta.

Puis, j'ai été convié à visiter l'église après avoir attiré des foules d'enfants autour de moi, c'est pas tous les jours que vient un étranger par icil

A droite nous avons le patrion et la patronne de Maria Lurdes.