
Une douloureuse
expérience au cabaret Cléopâtre:
Depuis
notre première rencontre, à l'automne 2001, même si
c'est toujours difficile d'agencer nos
disponibilités, C et moi
avons maintenant réussi à nous rencontrer à
quelques reprises. Son lieu de prédilection pour nos
rendez-vous est un cabaret du centre-ville de Montréal, les jeudis
ou
vendredis, en fin de soirée. Les séances
d'exhibitionisme, auxquelles il me soumet, sont de plus
en plus osées et, sans avoir réussi à vraiment m'y
habituer totalement, j'accepte maintenant plus
facilement de me plier aux exigences de mon Maître.
Par
contre, pour notre rencontre du
17 mai 2002, au Cabaret
Cléopâtre, après avoir résisté pendant plusieurs semaines,
j'ai finalement accepté de porter la tenue qu'il m'a
demandé de porter. Si vous pouviez me voir,
je crois que vous conviendriez que, si j'avais quelques années
de moins, vous pourriez me confondre avec les
prostituées qui déambulent sur la rue Ste-Catherine. Au haut de cette page, vous pouvez voir une photo,
prise quelques années plus tôt, mais qui peut vous aider
à visualiser mon allure générale.
Tout comme sur cette
photo, je porte ma mini-jupe la plus courte. Elle est
tellement courte qu'elle ne couvre, ni le haut de mes bas, ni
une partie de mes jarretelles. Elle arrive à peine à cacher mon
petit clito, mêne lorsqu'il n'est pas en érection. Ma blouse
n'a rien de bien spécial sauf qu'elle est déboutonnée de
manière à ce que, selon les instructions reçues, la partie
de ma brassière, à la jonction des deux seins, est
visible. Comme chaussures, je porte les mêmes bottes
noires moulantes que je portais lors de notre première rencontre.
Ce sont ses favorites mais il m'a également fait apporter une paire d'escarpins de cuir
verni noir, avec courroies à la cheville et talons de
cinq pouces. J'aimerais bien vous dire que je
porte une belle paire de petites culottes rouges qui
s'agencent à ma jupe mais, malgré toutes mes
supplications, C a insisté pour que je sois
nue. C'est la
principale raison pour laquelle j'ai refusé, pendant si
longtemps, de porter cet accoutrement.
J'admets que ce n'est pas la première fois que je dois
sortir en public le sexe à l'air. Cependant, chaque fois que j'ai dû le
faire, je n'ai jamais porté, ni de jupes moulantes, ni
de jupes courtes, comme ce soir. J'admets, aussi, que j'ai
parfois ressenti des sensasions agréables, lorsque le
vent s'engouffre sous ma jupe. Mais le stress que mon
petit clito paraisse sous ou au travers de ma jupe est
encore trop grand et je n'arrive pas à m'habituer. C'est
pourquoi, lorsque C, qui avait remarqué cette petite
jupe rouge sur une de mes photos, m'a informé que je
devrais la porter lors de notre prochaine sortie au
Cabaret Cléopâtre, j'ai d'abord cru à une blague de sa
part.
Il m'a donné rendez-vous pour 23:00 mais je me
doute bien que, selon son habitude, il aura de
trente minutes à une heure de retard. Je me rends, quand
même, au rendez-vous à l'heure convenue
car, comme pour lui tout les prétextes sont bons pour me
punir,
je n'ai pas osé prendre la chance qu'il arrive avant moi.
Il sait que je redoute et je déteste particulièrement la
cravache appliquée à l'intérieur de mes cuisses et sur mon sexe.
Mais il semble éprouver un malin plaisir à me faire
subir ce traitement presque chaque fois que nous nous rencontrons.
Donc, pas question de lui faciliter la tâche.
C'est
probablement le même genre de plaisir qu'il éprouve
chaque fois qu'il me fait languir,
exposée bien en vue, sur un des hauts tabourets, situés
près des machines à sous, au bar de ce cabaret. Selon ses instructions, c'est encore à cet endroit que
je l'attend depuis une bonne demie-heure, en sirotant
mon verre de Perrier car, toujours selon ses
instructions, je n'ai droit à aucun alcool qui pourrait,
peut-être, m'aider à me détendre un peu. Je dois avouer
que je suis extrêmement nerveuse. J'ai déposé mon sac à
main et mon sac de chaussures sur mes cuisses que je
maintiens serrées l'une contre l'autre. Je suis, malgré
tout, bien consciente que cette
protection est bien illusoire pour
cacher ma nudité.
À un
certain moment, un homme vient s'assoir à côté de moi. Il commence à me
poser des questions indiscrètes qui doivent me faire
rougir même au travers de mon épais maquillage. Je lui réponds à peine par
monosyllables, espérant finir par le décourager. Tout à
coup, j'ai juste le temps de retenir mes sacs pour
qu'ils ne glissent pas sur le plancher qu'il agrippe, sans ménagement, mon
sexe avec sa main. Je suis prise par
surprise, incapable de
réagir à cette agression que
j'expérimente pour la première fois. Heureusement, comme
par miracle, c'est à ce moment que C s'amène à côté de
moi et l'homme disparait aussitôt. La grande taille
de C a dû faire son effet mais ce dernier ne semble même
pas se rendre compte de ce qui vient de se passer. Lorsque je fini de lui narrer ma
mésaventure, il fait semblant de compatir avec moi mais
le sourire qui éclaire son visage me laisse plutôt
croire le contraire.
C commande alors son traditionnel Coca-Cola au barman avant de
m'amener à une table, située sur le côté gauche de la
scène. Le spectacle est sur le point de
commencer. Il me fait enlever mes bottes pour les remplacer
par les escarpins à talons aiguilles qu'il m'a fait
apporter. En dépit de mon corset serré et du manque d'espace,
je fini par m'exécuter. C ne consent à m'aider que pour
boucler les courroies à mes chevilles.
Pendant
que les spectateurs sont absorbés par le spectacle, C en
profite pour venir s'assoir sur le siège à côté
de moi. Il enfile un gant de latex et me fait glisser
sur ma chaise enfin de lui faciliter l'accès à l'orifice, situé entre mes fesses.
Pendant
que je suis préoccupée par un serveur qui circule tout
près, je ne peux réprimer un frisson lorsqu'il applique du lubrifiant et
introduit un de ses doigts dans mon cul. Mais, rapidement, il
force tellement pour m'agrandir que j'ai peine à
réprimer un cri, tellement il me fait mal. Et, même si
je lui dit que j'ai
peur de crier, il redouble d'ardeur. Le paroxisme de ma
souffrance survient lorsqu'il fait plusieurs tentatives
infructueuses pour introduire un objet en moi. Il me fait
tellement glisser les fesses de sur ma chaise que, sans
l'appui de mes mains et du bas de mon dos, je finirais
par me retrouver
sur le plancher.
Pendant
qu'il fait une autre tentative d'introduction de l'objet, je ferme
les yeux et essaie de me détendre du mieux que je peux
pour qu'il en finisse au plus vite. L'objet qu'il essaie
de m'enfoncer de force me semble trop gros mais je
le sens enfin pénétrer en moi. Je dois admettre que je ressens un
certain plaisir et un grand soulagement lorsque mon sphincter
commence à se refermer quelque peu.
Mais, mon
plaisir n'est que de courte durée car C essaie de m'enfoncer,
de nouveau, un autre objet qui semble être de la
même taille que le premier. Mes souffrances sont
aussi intenses mais ne durent pas aussi longtemps que
lors de la première introduction. Et, quel soulagement
lorsque je me rends compte qu'il se défait de son gant
de latex et que je peux enfin remonter mes
fesses sur ma chaise. Par contre, j'ai d'énormes
difficultés à m'habituer à la présence de ces objets qui
emplissent mon corps. J'ai l'impression qu'ils vont ressortir et je ne
veux surtout pas de ça parce que j'ai peur de devoir
endurer les mêmes souffrances que lors de leur
introduction.
J'informe
C, qui a repris sa place en face de moi, des difficultés
que j'éprouve. Mais, au lieu de me rassurer, il me menace
de me punir sévèrement si je n'arrive pas à maintenir ces objets
en moi.
Lorsqu'il
se rend compte que j'ai un peu repris mon calme, C
m'ordonne de me lever, d'aller aux toilettes et de
remettre en place ma coiffure.
Lorsque je
me retrouve sur mes pieds, la hauteur vertigineuse de
mes talons et les objets que je porte maintenant en moi me
donnent l'impression que de marcher est
au-dessus de mes capacités. Encouragée par C et regroupant
mes forces, j'arrive enfin à mettre un pied devant
l'autre. J'ai l'impression
d'être incapable de serrer les cuisses et de redresser
les genoux. De plus, je sens les yeux des plusieurs
spectateurs se tourner vers moi.
M'aidant
des rampes toute proches, j'arrive enfin aux toilettes pour y être
acceuillie par une des prostituées de service qui
m'engueule sous prétexte que je m'accapare de clients
potentiels. J'ai tellement hâte de ressortir de cet
endroit, qu'après quelques coups de brosse à ma
coiffure, je l'oublie sur le comptoir (la brosse, pas la
perruque, bien
sûr (ha! ha! ha!).
Commençant
probablement à m'habituer à la présence étrangère qui
envahit mon cul et à la hauteur de mes talons, le retour
à ma table se fait plus facilement et sans l'aide des
rampes. C me fait de drôles de commentaires sur ma
démarche mais il a l'air tout fier de moi. En tout cas, il
a la bouche fendue jusqu'aux oreilles.
Le
spectacle n'est pas terminé (ou un autre a commencé)
mais C me signifie de prendre mes affaires. Nous nous en
allons.
À la
sortie du cabaret, en haut de l'escalier qui mène à la
rue, devant la préposée au vestiaire et le placier, C me
fait lui remettre la laisse et le collier qu'il m'avait
demandé de garder dans mon sac à main. Il installe le
collier à mon cou et y fixe la laisse, avant
d'entreprendre la descente, laisse en
main. Toujours devant le placier et la préposée au
vestiaire et avant que j'aie le temps de poser le pied
sur la première marche, il porte une main sous ma petite
jupe et introduit un doigt dans mon anus. C'est ainsi
qu'il me guide jusqu'au bas de l'escalier, presque jusque sur le trottoir bondé de passants. Cette fois, il
me fait marcher devant lui, pendant que j'essaie, tant
bien que mal, à l'aide de mon sac à main, de camoufler ma
nudité et empêcher le vent
de soulever ma jupe.
Au coin de
rue suivant, au moment de m'engager sur la rue
Ste-Catherine, je rejoins une file de personnes qui
attendent que des places se libèrent à l'intérieur d'un
cabaret. Impossible de les
éviter et je deviens rapidement leur point de mire.
Je me sens terriblement humiliée (et, si j'avais su, à ce
moment-là, qu'une des chaussettes de C pendait entre mes
fesses, presque jusqu'à la hauteur de mes genoux, je
serais probablement morte sur le coup). Au moment de contourner le
coin de rue suivant, mon auto est en vue et je peux
enfin relaxer un peu. Je
m'installe au volant et je suis les directions qui me
sont données.
Pendant que nous roulons, C utilise ses
mains pour maintenir mon sexe en constante érection.
Ainsi, lorsque je stationne l'auto dans une côte, en vue de
la rue des Pins, quand il utilise ses lèvres au lieu de
ses mains, il me fait éjaculer en moins de temps qu'il
n'en faut pour le dire et le flot de mon éjaculation le
surprend.
Au moment
de nous quitter, C me remet la boîte de satin
rouge qui contenait les boules chinoises qu'il a
insérées dans mon corps, plus tôt dans la soirée. Comme elles
sont toujours là, il m'offre de me les enlever mais je
refuse de peur qu'il me fasse trop souffrir. Il me
prévient alors de ne pas les enlever au-dessus d'un bol de
toilette de peur de l'endommager.
De retour à la maison, je peux enfin me défaire de
ces fameuses boules chinoises, en prenant tout mon
temps et bien des précautions, croyez-moi? Lorsque j'y arrive, c'est à ce
moment que je constate qu'elles avaient été emballées
dans une des chaussettes de C. Et, vérification faite,
je peux me rendre compte qu'elles ont 1¾"
(45 mm) de diamètre. Un record pour moi! Pas étonnant
que j'aie eu de la difficulté à marcher convenablement
au cours de la soirée. Je suis toujours en vie mais je
me sens vraiment mortifiée d'avoir dû m'exhiber ainsi en
public.