Temps Déchirés

Tout commence part un homme grièvement blessé qui est transporté d’urgence à l’hôpital. Là bas dans la salle d’opération les médecins s’affairent et tente de le sauver. Une femme pénètre précipitamment dans l’hôpital et demande à voir l’homme qui vient de rentrer en urgence. Elle court vers la salle d’opération, qu’on lui a indiquée. Là les médecins et infirmières ressortent la mine triste : il est mort. Les voyants la jeune femme, qui courrait, tombe et pleure.

On revient cinq mois plus tôt. Parmi les ruines d’une ville des hommes court et se mettent à couvert. Un homme ordonne alors à son bataillon d’ouvrir le feu. Mais les tuniques bleues, qui se faufilaient dans les ruines, s’arrêtent nette. Lorsque les canons ne retentissent plus un homme, au galon de colonel, sort de sa cachette et ordonne à ses hommes de charger. Les fédérés courent donc vers l’ennemi. Les épées s’entrechoquent, les coup de feu retentissent. Puis, quelques minutes plus tard, les impérialistes surpassés battent en retraite. Les fédérés crient leur joie et le colonel SMITH les félicite pour leur bravoure et remercie se qui sont tombés (les morts au combats) pour leur sacrifice au nom de la liberté et la justice. Mais c’est alors qu’il porte sa main à son ventre et tombe: il a été touché.

Blessé on le transporte immédiatement au cloître de Saint Francis où une antenne chirurgicale a été implantée. Les médecins s’occupent de lui même l’homme s’évanouît. Il se réveille deux semaines plus tard avec à son chevet, une très jolie sœur infirmière. Il pense alors qu’il est au ciel. Mais elle, amusée, le rassure. Elle se présente, elle s’appelle Myriame de DANGAR. Elle l’aide à reprendre manger, se déplacer… Avec les semaines une idylle secrète se crée entre les deux personnages. Mais la mère supérieure les séparent. Quelque jours après les combats se rapproche du cloître puis atteigne la ville. SMITH, qui n’est pas tout à fait rétabli mais qui peut se battre part rejoindre l’armée. A la fin de la bataille SMITH est retrouvé inconscient, sa plaie ouverte et beaucoup de sang au sol. (On revient au départ) grièvement blessé le Colonel SMITH  est transporté d’urgence à l’hôpital. Là bas dans la salle d’opération les médecins s’affairent et tente de le sauver. Une femme, c’est Myriame  pénètre précipitamment dans l’hôpital et demande à le voir. Elle court vers la salle d’opération, qu’on lui a indiquée. Là les médecins et infirmières ressortent la mine triste : il est mort. Les voyants la jeune femme, qui courrait, tombe et pleure. Portant la main son ventre et dit : « ton père était un grand et valeureux soldat, Oscar »…

FIN