MEURTRES SOUS SCELLES

 

[Histoire débute dix ans plus tôt. L'inspecteur BAYARD n'est alors, à l'époque, qu’un jeune policier assistant au près du ministère de la Justice. Il est sous les ordres du Marchal David STUMBS.]

 Ils pourchassent le fugitif Jonathan MARGAN, condamné pour seize meurtres sur de jeunes femmes. La poursuite nous emmène dans le Tribunal de Légoria dans lequel se déroule le procès  d'une affaire dont le prévenu est accusé de coups et blessures  sur la personne de son enfant . MARGAN, en pénétrant dans la salle, prend l’arme du policier en faction près de la porte, tire sur les deux autres présents et va se réfugier et du ban de l'accusé. Pointe son fusil vers l'assistance et somme les fédéraux de ne pas rentrer dans la pièce. Cependant dans la précipitation, le Marchal pénètrent  dans la salle. Le fugitif prit de  panique, tire dans la foule, sur le jury  et le juge, puis prend  une petite fille en otage et se dirige vers la porte se trouvant à l'arrière du Tribunal. BAYARD et certains autres policiers, qui avaient fait le tour, passent à cet instant précis par la porte dérobée. Le jeune policier dégaine alors son arme et tire sur le malfaiteur qui, avec la surprise, avait lâché son " bouclier ". Un cortège d'uniformes bleu s’abat sur l'homme, toujours vivant, allongé au sol. Les infirmiers viennent aussi et soignent tous les blessés dont le fugitif et l'accusé touché par la balle de BAYARD dans la poitrine. Deux semaines plus tard, MARGAN est condamné à perpétuité dans à la prison fédérale de Chochenk. Trois jour plus tard, lors de son transfert vers le pénitencier, lui et deux autre détenus s’enfuient.

[L'histoire se déroule maintenant à notre époque – QG=bâtiment fédéral des IF Marchal de Légoria – 4em étage – 17h Mardi]

L'inspecteur   BAYARD est le Marchal  de la circonscription de Légoria.  Dans une salle d'interrogatoire, lui et son second interroge monsieur Richard GREY, président directeur général de la CID society, sur les ajustements de son groupe qui sont empêtrés dans des affaires de fausses factures, des détournements de fonds, fraude immobilière et non-respect de la loi sur l'environnement. L’interrogé répond courtoisement aux questions qu'on lui pose. À la fin de l’interrogatoire, le Marchal BAYARD, satisfait de ses réponses,  le remercie d'être venu et lui permet de se retirer.  Clément BAYARD discute avec son collègue et est réjoui de pouvoir partir en vacances. Le soir venu, et il rendre chez lui dans son appartement, dans la banlieue sud de Légoria.

[Journée ensoleillée – 6h du matin – Mercredi

Vers 6 heures du matin, le téléphone sonne ; L’inspecteur Mild lui demande de venir expressément en face du Tribunal de Légoria : le juge IBKIS  a été retrouvé mort.   Sur les lieux du crime, l'atmosphère est étrange. De nombreux policiers s’affèrent à chercher la moindre preuve. Mais aucune trace de meurtre ou de violence ne semble être présente. Les voisins n’ont rien vu d’étrange si ce n’est le comportement du juge lui même : de cinq heures du soir à trois heures du matin, il aurait poussé des hurlements. D’après le médecin  légiste, il serait mort d’asphyxie mais les causes de celle-ci sont introuvables. En partant des lieux du crime, BAYARD est contacté et doit se rendre à différentes adresses où d’autres morts paraissent tout aussi étranges et dont les victimes ont eu le même comportement bizarre.

[Il est près de 14h. Il se rend sur les lieux, discute avec les médecins, qui trouvent les mêmes conclusions…]

            En partant du dernier endroit, il reçoit un dernier coup de téléphone qui lui demande de ce rendre chez une personne victimes des même maux. Là-bas, la personne est morte de la même manière étrange. Une nouvelle fois il n’y a aucun indice, si ce n’est que la victime est allongé sur le ventre près d’une enveloppe toute noire et d’une carte où il est marqué « çà » . Puis une belle jeune femme arrive ; elle est  paniquée par le monde qui se trouve dans la maison : c’est Carine WILDCOTE, écrivain de renom. C’est la propriétaire de la maison et c’est son ami qui est la victime. L’inspecteur vient la voir et la réconforte. Ils partent ensuite pour le « QG » afin de l’interroger.

[QG=bâtiment fédéral des IF Marchal de Légoria – 4em étage dans le bureau de BAYARD – 15h]

            La jeune femme est bouleversée par la mort de son ami. Elle apprend à l’inspecteur, qu’elle se trouvait en déplacement, depuis hier matin, pour l’écriture de son prochain livre. Son ami, qui avait perdu son emploi et qui venait d’être mis à la porte de son appartement depuis Dimanche. Elle lui avait proposé de venir chez elle le temps qu’il puisse trouver autre chose. Il était sans famille (parents morts et pas de frère et sœur).

[la conversation continue et l’inspecteur lui permet de partir mais lui conseil d’aller quelques jours chez un parent ou un ami et de ce tenir à la disposition des inspecteurs durant toute la durée de l’enquête. Lorsqu’elle rentre dans l’ascenseur, BAYARD reçoit un appel de l’inspecteur MILD, qui est chez le légiste.]

            L’inspecteur Mild apprend à BAYARD que, d’après le légiste, l’enveloppe noir près du cadavre était imbibé d’une substance très difficilement décelable et que le médecin ne peut identifier. Il lui apprend que l’enveloppe était très certainement accompagnée de fleurs, des traces ayant été retrouvées. À cet instant BAYARD comprend que c’est un meurtre et que la personne, qui était visée,  n’était autre que Mlle WILDCOTE. Raccrochant précipitamment, il demande à l’assemblée de personne qui se trouve dans le hall de l’immeuble de quel côté est parti la jeune femme. Le réceptionniste lui indique qu’elle avait préféré partir à pied et était parti à droite. Il part donc à  sa recherche et l’aperçoit à un croisement de rue.

[une voiture déboule très rapidement et fonce sur Carine qui est en train de traverser]

            Voyant la voiture arrivée très rapidement le Marchal dégaine demande à la foule de se mettre face contre terre, puis tire sur la roue avant de la voiture, qui est touché et fini sa course contre un mur. BAYARD va voir si la jeune femme va bien. A cet instant l’homme, qui conduisait la voiture, descend et tire vers eux à l’aide de son pistolet. L’inspecteur, part un geste vif, jette la jeune femme au sol et tir atteignant le malfaiteur par trois balles dans la poitrine. L’homme tombe mort.  les sirènes retentissent et les secours et la police arrive sur les lieux

[Retour au QG – 4em étage –18h30]

            L’inspecteur Mild est au coté de son supérieur, dont le bras n’a été que très légèrement touché par une balle. Son second l’informe que l’homme, qui les a attaqué, n’était autre que la seconde personne qui c’étaient enfui avec  MARGAN, Mr Fabrice DOH que le juge IBKIS les avait condamnés tous les deux et qu’un voisin du juge l’avait reconnu et qu’il était passé, habillé en facteur, un paquet le matin même de la mort du juge et que ce paquet avait été retrouver avec une enveloppe noire où rien n’était inscrit. Une enveloppe noire a également été trouvée chez les 11 autres victimes. Cependant aucun lien entre la jeune femme, où son ami, et l’homme de la voiture ne semble existé. De plus, aucun lien ne semble, non plus, exister entre les 9 autre victimes et DOH. Ces 10 morts semblent donc toujours inexplicables.

[Fatigué BAYARD rentre chez lui]

[Jeudi – 6h30 du matin – Chez BAYARD]

            L’inspecteur se réveil brutalement. Le policier n’a pas cesser de penser à l’affaire. Il à compris le lien des différentes personnes : Un juge et 11 personnes c’est un jury dans une affaire criminel. Il fonce donc au QG. En entrant il aperçoit Mild et Richard GREY qui est en train de partir. Mild lui explique qu’il c’est porté volontaire pour aidé la police fédérale et que son équipe étudiera le produit que le légiste n’a pu identifier. Puis il s’interroge de le voir si tôt. BAYARD lui explique sa théorie.

[Même jour – bureau de BAYARD – 11h30]

            Après 3heures de recherches, ils savent que les 12 personnes ne font pas parti d’un jury qui aurait condamné Fabrice DOH, mais comme certains dossiers ont brûler dans un incendie l’été dernier  rien ai exclu. Là on les prévient que le produit utilisé sur les enveloppe est un produit rare et qu’une seule personne, du nom de ARGNAM, anagramme de MARGAN, en a commandé une grande quantité dans les dix derniers mois. L’adresse d’envoie trouvée, Ils se rende sur les lieux. Là un homme leur tire dessus ; les agents ripostent et le poursuivent en voiture.

[grande poursuite en voiture dans la ville, échange de coup de feu, BAYARD parvient à monter dans la calèche de MARGAN. Combat, et immobilisation du véhicule.]

 BAYARD va pour le questionner et un coup de feu abat l’évadé qui avant de mourir arrive à dire que ce n’est pas lui qui à tué. Persuadé qu’un mourant ne peut pas mentir BAYARD téléphone au QG et demande à ce que l’on face une recherche sur le liens des victime et de Mlle WILDCOTE.

[1 heures plus tard au QG]

            Le lien qui les unissaient est une condamnation d’une personne accusée de coups et blessures  sur la personne de son enfant dont le nom sur le dossier est illisible. Cet homme c’est également évadé avec MARGAN. BAYARD pense alors au 11em juré qui doit toujours être en vie, et part vite chez lui.

[Maison du 11em juré – 16h]

            La personne est chez elle. Elle est arrivé hier soir avec sa femme de voyage. C’est un couple de retraité. BAYARD aperçoit la lettre. Puis il questionne l’homme sur l’affaire dont il a fait parti du jury. L’homme sens souvient très bien car durant le procès un forcené avait  pénétré dans le tribunal et pris quelqu’un en otage. BAYARD à cet instant ce souvient. Le retraité cherche le nom de l’homme, BAYARD est alors pressant, mais le vieil homme ne s’en souvient pas. Soudain il se rappelle, il s’appelait GEYR. BAYARD comprend tout de suite (GREY et GEYR) et téléphone au QG pour savoir où se trouve Carine. Ont l’informe alors qu’un agent est venu le cherché pour la raccompagné chez elle.  BAYARD part avec Mild chez Mlle WILDCOTE.

[Chez Mlle WILDCOTE – 18h30 soleil est sur le point de se coucher]

            BAYARD appel GREY et lui somme de se montrer. GREY répond et l’invite à rentrer. Mild reste en arrière et lorsque le Marchal pénètre dans la maison trois coup de feu retentisse. Mild est au sol. Grey le trouvait trop gênant. En entrant on peut voir Carine bâillonné assise sur un chaise près de l’escalier. GREY apparaît. Il lui explique qu’à cause d’eux il était allé en prison et qu’ils devaient payés. De plus sa vie était diminué par la faute de l’inspecteur (cf  §1), et devait donc payé. Mild qui avait réussi à se relever, allait tirer. Grey le précède et au même instant BAYARD saute sur la jeune femme pour la protéger. GREY voyant que ça tourne mal commence à partir. BAYARD le poursuit dehors et à travers les propriété qu’il traverse.

[Échange de coup de feu…]

Arrivant près dans une impasse, GREY fait face à  BAYARD les deux hommes se regarde longuement et l’inspecteur tire. Mais à cet instant un reflet de soleil l’éblouit et le fait manquer la cible. Le second se prépare à tirer mais il n’a plus de balle.

[combat féroce entre les deux hommes… GREY meurt dans la bagarre. BAYARD est blessé – les secours arrivent avec Carine qui embrasse son héros]

FIN

 

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