Kervella
On dispose 4 ou 5 tables en 1 ligne, pour faire comme si la classe était énorme.Avec donc 8 ou 10 élèves (ils faut donc faire appel aux meufs, Thomas et Adrien). On met le bureau en face. Seb joue donc le rôle de Carv..On fait du bruit, et on s'envoie des chiques, des boules de papier et de gommes.
Seb rentre, avec la démarche de Kervella, des lunettes et une malette.Les élèves qui foutent le bordel se taisent, le regardent, et recommencent à foutre le bordel comme si il n'était pas là. Seb se met devant le bureau, regarde les élèves, et ne bouge plus. Puis au bout d'un moment il dit: "Quant vous aurez compris que je ne commencerai le cours que lorsqu'il y aura le silence". Le bruit se calme un peu. Il marque la date au tableau; "22/03/00", puis il dit :" Bon on en est où ?
- On est toujours à la page 3 du livre, M.r ! dit un élève.
- Eh, oui si vous participiez un peu plus, peut-être qu'on avancerait !
Puis à voix basse :"pff, petit con".
Seb ouvre alors le livre et lit le texte sur : "More like your sister", et avec un énorme accent. On fait un énorme bordel, comme si personne n'écoutait; qu'il parle dans le vide. Puis pose une question : "Why does his father say that"? Personne ne répond, puisque personne n'a écouté. Alors il regarde sur son cahier, met le doigt dessus, le descend, s'arrête et dit :"Ralid Lamiaa"
- Quoi ? ...chais pas moi!
- Becooose, he doesn't like when his son come back late ! c'est pourtant pas compliqué!
Il écrit la question et la réponse au tableau. Pendant ce temps on fait envoyer des chiques au tableau ,qui viennent de la gauche de la caméra, derrière les élèves qu'on voit, pour faire croire que ça vient du fond.
Il se tourne, regarde vers le fond, reste immobile, puis se tourne et continue d'écrire, il dit : "Petits salopards, j'vais pas me laisser pourrir la vie par des petits cons!
Il se tourne pour parler à la classe, mais se prend une chique sur ses vêtements, dit alors: " Bon ça suffit, je vais voir le directeur, vous serez tous renvoyés". Puis il sort.
On coupe.
Fin de scène 2 - Kervella
-Fab, chroniqueur plutôt niqueur que chro…