SYMBOLISME ACHIMIQUE
Rubellus Petrinus
Voie Sèche
(Background sounds)
Sujet mineral
. Les Demeures Philosophales, Fulcanelli, A Paris, chez Jean-Jacques Pauvert, 1965, Vol 1, p 166.«Son nom traditionel, pierre des philosophes, dépeint assez ce corps pous servir de base utile à son identification. Il est, en effet, véritablement pierre, parce qu'il présent, au sortir de la mine, les caractères extérieurs communs à tous les minerais C'est le chaos des sages, dans lequel les quatre éléments sont enfermés, mais confus et désordonnés.»
«On l'appelle encore dragon noir couvert d'écailles, serpent venineux, fille de Saturn et «la plus aimée de ses enfants». Cette substance primaire a vu son évolution interrompue par interposition et pénétration d'un soufre infect et combustible, qui en empâte le pur mercure, le retient et le coagule. Et, bien qui'il soit entièrement volatil, ce mercure primitif, corporifié sous l'action siccative du soufre arsenical, prend l'aspect d'une masse solid, noire, dense, fibreuse, cassante, friable, que son peu d'utilité rend vile, abjecte et méprisable aux yeux des hommes. Dans ce sujet, - parent pauvre de la famile des métaux, - l'artiste éclairé trouve cependante tout ce dont il a besoin pour commencer et parfaire son grand ouvrage, car il y entre, disent les auteurs, au début, au milieu et à la fin de l'Oeuvre...»
«C'est la raison por laquelle ils ont dépeint symboliquement leur matière en son premier être sous la figure du monde, qui contenait en soi les matériaux de notre globe hermétique, ou microcosme, assemblés sans ordre, sans forme, sans rythme ni mesure.»
«Notre globe, reflet et miroir du macrocosme, n'est donc qu'une parcelle du Chaos primordial, destinée, par la volonté divine, au renouvellement élémentaire dans les trois règnes, mais qu'une suite de circonstances mystérieuseus a orientée et dirigée vers le règne mineral...»
«La matière philosophale est donc d'origine minérale et métallique. Partant, il ne la faut chercher qu'en la racine minérale et métallique, laquelle, dit Basile Valentin au livre des Douze Clefs, (designée par le Loup gris) fut réservée par le Créateur et primise à la génération seule des métaux.»
Soufre
.«Ce feu spirituel, informá et coporifié en sel, c'est le soufre caché, parce qu'au cours de son opération il ne se rend jamais manifest ni sensible à nos yeux. Et cependante ce soufre, tout invisible qu'il soit, n'est point une ingénieuse abstraction, un artifice de dotrine. Nous savons l'isoler, l'extraire du corpos qui le recèle, par un moyen occulte et sous l'aspect d'une poudre sèche, laquelle, en cet état, devient impropre et sans effet dans l'art philosophique.Ce feu pur, de même essence que le soufre spécifique de l'or, mais moins digéré, est, par contre, plus abondant que celui du métal précieux. C'est pourqoi il s'unit aisement au mercure des minéraux et métaux imparfaits. Philelèthe nous assure qu'on le trouve caché au ventre d'Aries, ou du Bélier, constellation que parcout le soleil au mois d'avril. Enfin, pour le désigner mieux encore, nous ajouterrons que ce Bélier qui cache en soy l'acier magique porte ostensiblement sur son écu l'image du sceau hermétique, astre aux six rayons.
C'est donc dans cette mattière très commune, qui nos paraîte simplement utile, que nous devons rechercher le mystérieux feu solaire, sel subtil et soufre spirituel, lumière céleste diffuse dans les ténàbres du corps, sans laquelle rien ne se peut faire et rien ne saurait remplacer.»
L'Entrée Ouverte Au Palais Fermé Du Roy, Eyrénée Philalèthe, Retz, Paris, 1976, p 65.
«Alors, cherchant plus loin ce soufre active, les mages le trouvèrent profondément caché dans la maisson d'Aries. L'enfant de Saturne l'a accueilli avec avidité, étan elle-même une matière métallique très pure, très pure, très tendre et très proche du premier être des métaux, cpmplètement dépourvue de soufre actuel mais capable de recevoir le soufre. C'est pourqoi elle l'attire à elle comme un aimant, l'absorbe et le cache dans ses entrailles. Et le Tout-Puissant, pour parachever cet ouvrage, lui imprime son sceu royal...»
Separation
. P 43. «Pour bien dénouer la difficulté, lis attentivement ce qui suit: prends quatre parties de notre Dragon igné, qui cache dans son ventre l'Acier magique, et neuf parties de notre Aimant; mêles ensemble avec l'aide du torride Vulcain, de façon qu'ils forment une eau minérale où surnagera une écume qu'il faut rejeter. Laisse la coquille et prends le noyau, purge-le à trois reprises par le feu et le sel, ce qui se fera aisément si Saturne a regardé sa propre beauté dans le Miroir de Mars.»Régule
. P. 27. «Et toi, lorsque tu auras vu son étoile, suis-la jusqu'à son Berceau: tu y verras un bel enfant , en le séparant des ses impuretés. Honore ce rejeton royal, ouvre ton trésor pour lui offrir de l'or; et, après sa mort, il te donenera sa chair et son sang, médecine suprême pour les trois règnes de la terre.»Le investigateur sagace et avec quelque connaissances de l'Art facilement comprendra le symbolisme parce que tant Fucanelli comme Philalèthe etaient extremament charitables tant en la description de las pricipales caractéristiques de le sujet minérale comme de leur acolyte métallique.
Résument au minime le modus operandi parce que la notre intencion etait de écrire apein symboliquement les matières de la voie shèche jusqu'au régule martial etoillé.
Le vie Shèch est decritè jusqu'à décotion finale de la Rémora dans le livre de l'aquelle que il fut disciple de Fulcanelli, Eugène Cansilet, L'Alchimie Expliqueé Sur Ses Textes Classiques, A Pariz, Chez Jean-Jacques Pauvert, 1972.
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