C'est horrible des corps partout, déchiqutés, à moitiés carbonisés. Le sang séché tapisse les murs. Les coeurs les plus accrochés - ou les esprits les plus morbides - pourront voir les détails des mutilations féroces. C'est inhumain ! Même pour des skavens ...
toute réponse semblait superflue
- hummm, c'est peut être ton cousin Oswwald et ses pots ...
Wert regarda son collègue de travers. Silence. Puis un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale
- ... ou c'est peut être tout simplemennt ce qui nous attends ...
Wert releva la tête. Devant lui se tenait un de ces êtres, putride et bestial, prêt à bondir. Derrière, des dizaines de petits yeux rouges les fixaient férocement. Wert regarda son compagnon qui laissa filtrer une grimace en rétorquant :
- Il me semblait bien que c'était pas ppar là !
Puis celui-ci dégaina son épée en attendant la fin ...
- De toute façon depuis que les évènemeents ont commencés j'ai perdu l'appétit.
- Plus aucun endroit n'est sur, même noos frères nous poignardent dans le dos !
- Tu parles ! Je préfererais encore tommber entre les mains des hommes du Comte !
- Dis pas de betises. En attendant resttons cachés et attendons que ça passe.
- J'ai mal aux jambes ...
- J'ai faim ...
- Tiens ! regarde par terre !!
- Excellent ! T'en veux ?
- Non, pas maintenant. Je t'avais bien dit que ça sentait !
Kweest' s'empare alors du rat crevé sur le sol et l'avale d'un trait.
